Conte un jean c’est un seul en scène crée en octobre 2016 au Théâtre le Saltimbanque à Genève, dont la forme navigue entre le conte et le one man show, écrit et joué par moi-même et mis en scène par Mathilde Soutter.
Mais c’est aussi :
Un stage de contes à l’Ecole Serge Martin en 2013 donné par Deirdre Foster qui m’a ouvert au plaisir sans fin de l’exploration de l’imaginaire et du conte.
La lecture en 2016 du mondialement célèbre « Sapiens, a Brief history of human kind » du génial Yuval Noah Arrari, véritable coup de poing dans ma gueule et bouleversant ma façon de voir les choses et me donnant l’envie de raconter.
Une curiosité sur l’état des différentes connaissances scientifiques tout domaines confondus, souvent peu accessible, et donc l’envie d’en faire ce que nous comprenons tous un peu mieux : Une histoire.
La question étant, est-ce seulement possible? Ben Non. Mais il y a une phrase d’Einstein (je sais c’est tellement vu et revu ces citations d’Einstein), mais celle là elle est stylée :
« Si vous voulez rendre vos enfants intelligents, racontez leurs des histoires. Et si vous voulez les rendre encore plus intelligents, racontez leurs encore plus d’histoires. »
Donc j’ai mené une petite enquête par la lecture de littérature de vulgarisation scientifique, et surtout la rencontre avec Bruno Mansoulie, physicien des particules au Cern. J’avais le projet de rencontrer de nombreuses autres expert.e.s de leurs domaines respectifs mais malheureusement le temps m’à manqué. Peut-être un projet d’avenir… Et après une résidence magnifique à Cratoule chez Delphine Ayrton, le spectacle était né.
Je l’ai également retravaillé pendant 2 mois dans l’incroyable Laboratoire des arts de la narration à Paris, Why Stories, sous la direction de Luca Giacomoni, Andrea Zubialde et Sara Di Bella.
Toujours est-il que ce spectacle est jouable absolument partout, et après le Saltimbanque je l’ai joué au festival plein air au Clos Voltaire, à Paris à la fin de ma résidence à Why Stories, à la Cour 1603 à St-julien, à Azureva Pornichet, dans un Salon à Lausanne et au Théâtre Vide poche de Lausanne.
